TAG de Quatre poussins pleins d’avenir

Il y a ce que vous savez déjà car je le répète, en moyenne, un article sur deux (j’aime l’histoire, je viens de la Nièvre, j’adore voyager, etc.). J’ai découvert ce TAG de Bénédicte du blog Quatre poussins pleins d’avenir et j’ai eu envie de vous révéler quelques faits fabuleux et secrets sur mon être…

1. Je procrastine souvent, trop, trop souvent…

C’est mon point commun avec Bénédicte, je procrastine et j’oublie… puis je me rappelle et je procrastine quand même ! Je m’exaspère quand ensuite je me retrouve à en payer les frais (au propre et au figuré). Je procrastine pour le travail, pour les factures à payer, pour les courses, pour faire du rangement. Seul point positif : je réussis à être efficace une fois que je suis au pied du mur mais à chaque fois, je me dis que j’aurais pu m’y prendre avant et éviter cette dose de stress.

2. Mais j’ai une tendance à tout décider organiser.

L’un et l’autre ne sont pas antinomiques. Pour l’organisation des vacances, je ne procrastine jamais. Les réservations sont faites très en avance, les recherches d’activités, de sorties et d’ateliers pour les enfants aussi (ce qui me fait penser à l’article de Maman Lempicka sur les métiers qu’elle aurait pu faire), j’aurais dû travailler dans le tourisme. J’ai aussi une légère tendance à organiser le quotidien, certains se plaignant dans mon foyer du fait que je donne des ordres, alors que ce sont seulement des indications pertinentes.

3. L’endive me répugne.

Il y a des aliments (épinards, olives, etc.) que je n’aime pas mais je peux me forcer à les manger quand je suis invitée. Par contre, pour les endives, impossible ! Crues ou cuites, je trouve le goût détestable. Pendant mes années estudiantines, j’ai été animatrice de colo et je prétextais une allergie aux endives pour ne pas en prendre et, les jours d’endives, laissais les enfants se goinfrer de pain au lieu de goûter ce qu’il y avait dans leur assiette.

4. J’adore la limonade.

Mais la limonade à la française, au citron et peu sucrée. Limonade qui n’existe malheureusement pas en Allemagne ! A chaque séjour en France, j’en bois des litres et en rapporte quelques bouteilles en Allemagne. Une fois le stock écoulé, je bois de l’Almdudler qui est une limonade autrichienne aux herbes des montagnes.

5. Je ne bois quasiment jamais d’alcool.

Je n’ai jamais été une grosse consommatrice. J’avais 27 ans lors de ma seule et unique cuite (voir le point précédent, je me faisais plutôt des soirées diabolos menthe / diabolos fraise à l’adolescence et pendant mes années à la fac…). J’ai arrêté sans problème toute consommation d’alcool pendant mes grossesses et les premiers mois d’allaitement… et n’ai jamais repris ensuite. Lors d’un dîner, je vais goûter le vin mais mon verre va se vider très lentement (sauf si mon mari me l’emprunte)…

6. Je peux gérer des émissions de flux corporels sans haut-le-cœur.

Vous noterez la subtile transition avec le point précédent. Avec trois enfants petits qui participent à chaque vague de gastro, c’est un atout non négligeable. Je me souviens avoir accompagné une sortie scolaire et avoir aidé le garçon qui venait de vomir (hors du sac à vomi) à éponger au maximum pendant que le reste des passagers (enfants comme adultes) s’était réfugié à l’autre bout du bus et que le conducteur du car insultait le gamin tout en conduisant…

7. Je chante juste.

Ce qui n’est pas le cas de tout le monde chez moi… mais je ne donnerai pas de nom (je fais juste une grimace quand j’entends un canard)… J’ai fait de la musique pendant toute mon enfance (accordéon, guitare, piano) et j’ai plutôt l’oreille musicale. Je fredonne rapidement l’air d’un morceau que je viens d’entendre. Mais l’adolescence et la mue sont passées par là et j’ai perdu ma voix de sopranissimo.

8. Je ne m’épile plus les jambes.

Alors, non, la culture allemande n’a pas, à ce point, déteint sur moi. Simplement, je n’en ai plus besoin sur les jambes. Il n’y a plus rien depuis au moins vingt ans ! Avant l’été, une épilation des aisselles et la repousse va mettre un mois (je ne pensais pas écrire un jour un article dans lequel je frimerais avec mes poils faiblards).

9. J’ai des chiffres magiques.

Mon réveil n’est jamais mis à 07:00, ce sera 06:59 ou 07:01 ou 07:04. Virginie avait raconté qu’elle avait la même manie et je m’étais sentie moins seule. Je le faisais déjà à l’adolescence, je crois que c’est mon moyen de me porter chance pour la journée.

10. Je suis une vraie Madeleine.

J’ai toujours été très sensible mais là, c’est devenu une catastrophe. Le moindre (mauvais) documentaire un peu larmoyant me fait fondre en sanglots. L’aggravation des symptômes date de ma première grossesse. Je me souviens avoir commencé à pleurer dès le générique de début d’Un long dimanche de fiançailles. Mon mari était navré et avait essayé de m’expliquer que ce n’était pas encore triste. Peine perdue ! J’ai pleuré tout le long du film.

Maintenant, vous connaissez mes « talents » cachés. Et vous, tentés aussi par ce TAG ?

En photo de couverture, Nice ! Histoire de changer un peu des photos de la Nièvre. Une ville superbe que j’aime beaucoup.